Le verger de Routelle
Un verger diversifié à Routelle
Le verger a été implanté l'hiver 2023-2024 suite à une reconversion professionnelle, dans une démarche de développer les circuits courts tout en valorisant l'environnement.
Sont cultivés : 9 variétés de pommiers, 5 variétés de raisin de table, 4 variétés de fraisiers, plaqueminiers (kakis), noisetiers, figuiers, kiwis, kiwaïs, mûriers, ...

En résumé...
La démarche
L'accueil de la biodiversité
Ne pas cultiver que des espèces de la même famille et avoir recours à plusieurs variétés de chaque espèce créé un environnement plus complexe, plus résilient qu'une monoculture. Des haies et des abris pour la biodiversité complètent le système.
Des traitements très réduits et moins nocifs
Le verger est en conversion vers l'agriculture biologique. Les variétés sont sélectionnées pour leurs capacités de résistance aux maladies et ravageurs, afin de réduire les traitements phytosanitaires (voir les traitements appliqués) et exclure les produits les plus nocifs pour la santé et l'environnement (CMR, neurotoxiques, etc.). Je n'utilise pas d'herbicide.
La réduction de l'empreinte carbone
Les trajets quotidiens pour aller travailler au verger sont majoritairement effectués à vélo. J'encourage les clients qui le peuvent à utiliser les mobilités actives ou à grouper leur trajet au verger avec leurs autres déplacements.
La proximité
Je vous accueille volontiers au verger et me montre très ouvert aux remarques et questions sur mon activité : n'hésitez pas à m'interpeler ! Je partage toutes les informations sur mes traitements phytosanitaires et propose aux riverains les alertes par SMS avant les traitements. Je souhaite participer à la vie locale et à la coopération entre habitants et producteurs.
Une ferme à taille humaine
Le projet s'est construit avec la volonté de promouvoir un modèle d'agriculture locale et à petite échelle.
Une production peu présente sur le territoire et diversifiée
Diversifier les productions réduit les conséquences des calamités agricoles et étale les récoltes dans le temps. Les cultures peu présentes localement réduisent les distances des circuits de commercialisation, améliorent la résilience alimentaire du territoire.